Au lendemain de la réunion entre cinq présidents de clubs de Ligue 1 et le patron de la FFF pour apaiser les tensions liées à l’arbitrage, le ballon est désormais clairement dans le camp de Philippe Diallo. Mis sous pression par les clubs professionnels pour qu’il y ait du changement dès cet été, six mois avant les élections fédérales, Diallo doit ménager la chèvre et le chou. Donner des gages aux uns sans se mettre à dos les autres ni montrer une quelconque soumission. Un numéro d’équilibriste politique amené à durer plusieurs mois.
